J'ignorais qu'elle était rare dans l'Est. Elle abonde dans les forêts franciliennes et c'est plutôt l'inverse : ce sont celles des bois qui s'invitent dans les jardins, j'ai constaté ça à Brunoy cet après midi.

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O. s. 1891 je suppose. Le support aide beaucoup.

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Qui colle bien en tous cas avec l'aspect, l'habitat et la saison.

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Quelqu'un pour nommer ? Castor ? C'est dans le FTE, parmi les les "ascomycètes inoperculés érumpents".

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09 avr. 2024, 19:02Duche a écrit :

P.S : j'en ai trouvé hier des tout petits sous bouleaux et tilleuls , j'ai fait les lames au micro, puis-je les soumettre ?

Si tu as de bonnes raisons de penser que ce sont les mêmes, tu n'as pas besoin d'autorisation pour les soumettre ici. Sinon, sur un autre sujet.

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La sporée est effectivement, sur la photo, plus chocolat que rouille mais je vois mal autre chose qu'un cortinaire. Certains semblaient avoir une idée duquel.

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Bonsoir,

Renseignement pris, cuneatus, -a, -um signifie "en forme de coin" (pas de coing), ce qui est le cas de beaucoup d'entolomes et autres chapeaux pointus, mais bon.

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De houx en l'occurrence. En cherchant le fameux marasme.

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Il y en a beaucoup de Fries et en 1818 mais ce n'est pas la date que j'ai.

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C'est dans un des quelque 30 genres de cette famille mais si tu as trouvé, laisse chercher Montama...

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Bonne question.

Une feuille.

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09 avr. 2024, 12:00Castor74 a écrit :

... je suis complètement béotien dans ce domaine…

Et moi donc !

Ce sont des apothécies érumpentes, ici au stade asexué.

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Nous avons une exigence à géométrie variable, c'est sûr.

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Bonjour, Forêt de Montmorency (Val-d'Oise) le 05/04/24, sortie que nous avions intitulée "ail des ours et champignons". Dans une forêt bourbeuse, le premier abondait (dans ses stations), les seconds étaient pratiquement absents. Tout de même cette petite chose, j'utilise éhontément (mais a...