Mon engagement
Posté : 29 nov. 2012, 12:01
Il n'est pas extraordinaire, facile à tenir - et c'est une des rares choses que je tiens depuis des années - c'est de quitter un endroit au moins aussi propre que lorsque j'y suis arrivé.
Ça s'applique à tout type d'endroits : habitation (sauf que chez moi, c'est franchement le bazar), locations de vacances, campings, vestiaires, sanitaires, quais de gares, ... et bien évidemment nature (forêts, bords d'eau, prés, etc...) .. et même les "pas beaux".
Cela se traduit par - évidemment - ne pas jeter des choses par terre, ni "derrière le buisson où ça ne se verra pas".
Et surtout autant que possible (et parfois j'abuse largement), ramasser les "oublis" que d'autres ont laissé par fainéantise, bêtise, vantardise ("T'as vu c'est là que j'ai picolé, la preuve la cannette est encore là !" ), pour faire mode (la pub honteuse de Red Bull passée pendant des mois au cinéma et je crois à la télé, où on voit dans un dessin animé un jeune boire une cannette et la jeter par dessus l'épaule... ou la liberté d'être crade ! ) ou pour le simple plaisir d'emm..der le monde.
De préférence, les détritus non biodégradables, et surtout ce qui est recyclable (cannettes métalliques, bouteilles plastiques ou en verre, piles, ..) pour les mettre dans les containers ad hoc.
Ainsi, à chaque fois que je vais "aux champignons", je reviens généralement avec un sac plein d'ordures.
Ce n'est pas grand chose, mais si nous le faisions tous un peu le "ménage" serait vite fait. Même si cela n’empêchera pas les plus crétins de récidiver, une endroit sans déchets fait culpabiliser de jeter le premier.
Après reste le travail sur le long terme, l'éducation... Je laisse ça aux pédagogues, aux diplomates. Pour ma part, je me contente de donner l'exemple à mon niveau.
Il existe maintenant une journée d’action (le World Clean Up) pour "éliminer les décharges sauvages partout dans le monde pour se débarrasser définitivement des déchets qui polluent et défigurent nos rivières, nos montagnes, nos campagnes, nos rivages..."
Ça peut bien sûr se faire dans ce cadre-là, à condition d'être "propre" le reste de l'année.
PS : C'était peut-être ennuyeux à lire, mais c'est sincèrement une des rares choses dont je suis fier, où j'ai l'impression de faire du concret, et suis content de l'écrire.
Ça s'applique à tout type d'endroits : habitation (sauf que chez moi, c'est franchement le bazar), locations de vacances, campings, vestiaires, sanitaires, quais de gares, ... et bien évidemment nature (forêts, bords d'eau, prés, etc...) .. et même les "pas beaux".
Cela se traduit par - évidemment - ne pas jeter des choses par terre, ni "derrière le buisson où ça ne se verra pas".
Et surtout autant que possible (et parfois j'abuse largement), ramasser les "oublis" que d'autres ont laissé par fainéantise, bêtise, vantardise ("T'as vu c'est là que j'ai picolé, la preuve la cannette est encore là !" ), pour faire mode (la pub honteuse de Red Bull passée pendant des mois au cinéma et je crois à la télé, où on voit dans un dessin animé un jeune boire une cannette et la jeter par dessus l'épaule... ou la liberté d'être crade ! ) ou pour le simple plaisir d'emm..der le monde.
De préférence, les détritus non biodégradables, et surtout ce qui est recyclable (cannettes métalliques, bouteilles plastiques ou en verre, piles, ..) pour les mettre dans les containers ad hoc.
Ainsi, à chaque fois que je vais "aux champignons", je reviens généralement avec un sac plein d'ordures.
Ce n'est pas grand chose, mais si nous le faisions tous un peu le "ménage" serait vite fait. Même si cela n’empêchera pas les plus crétins de récidiver, une endroit sans déchets fait culpabiliser de jeter le premier.
Après reste le travail sur le long terme, l'éducation... Je laisse ça aux pédagogues, aux diplomates. Pour ma part, je me contente de donner l'exemple à mon niveau.
Il existe maintenant une journée d’action (le World Clean Up) pour "éliminer les décharges sauvages partout dans le monde pour se débarrasser définitivement des déchets qui polluent et défigurent nos rivières, nos montagnes, nos campagnes, nos rivages..."
Ça peut bien sûr se faire dans ce cadre-là, à condition d'être "propre" le reste de l'année.
PS : C'était peut-être ennuyeux à lire, mais c'est sincèrement une des rares choses dont je suis fier, où j'ai l'impression de faire du concret, et suis content de l'écrire.